Le blog de Léa du 66

De retour avec un nouvel album, j'espere que vous y trouverez ce que vous cherchez...  

 

 new 1053nb

 

 

 

 

Ces photos sont prises par moi,

 

Je ne suis pas contre quelques commentaires, et reste ouvert à toute proposition  

 

Bonne visite à tous et à toutes...

 

Léa 

 

 

Lun 14 mar 2011 4 commentaires
Je suis la petite salope de la faculté
Je suis à la Fac et j'ai une piaule dans une cité universitaire à Rabat (Maroc). Au début de l'année, j'ai eu la visite d'un voisin super gentil, très amusant qui frappe et me demande si je peux lui prêter un peu de shampooing qu'il a oublié d'acheter en allant en ville. Volontiers, je le fais entrer, nous discutons de nos études et de notre avenir, puis je me lève et lui donne le flacon demandé.
Une demie heure après, il revient torse nu, en short, me rapporter le shampooing.
Je ne pensais pas qu'il reviendrait le même soir et j'étais en slip sur mon lit révisant les cours de la journée. Il entre sans frapper et me voit affalé sur le lit, les jambes écartées lisant les polycopies du jour.
Ouah ! Me dit il, tu es un vaillant toi ! Le flacon dans la main, il me demande où le poser et prend un siège et s'assoit face à moi. Son short est court mais je devine qu'il est nu dessous... Dans la discussion, comme il bougeait sur son siège, je vis le bout de son sexe dépasser par l'entrejambe. Sa peau était claire mais le peu que j'ai pu voir paraissait beaucoup plus foncé. Il vit que mon regard était attiré par l'échancrure de son short, et il en abusait ce qui déclara chez moi une belle érection. Une belle érection que j'essayais de dissimuler à ma nouvelle connaissance, mais en vain car je vis que mon excitation avait excité mon interlocuteur. Il se leva comme pour me dire au revoir et je vis le short tendu pointant en avant.
-Tu as vu dans quel état tu m'as mis, me dit-il
Je rougis tout en matant son short et lui répondis :
- Tu me fais le même effet et en étendant les jambes je lui faisais voir mon slip pointant également.
Il baissa son short et je vis son zob pointant face à lui. Magnifique !
Je m'assis sur le lit et me retrouvai le visage à cinq centimètres de son zob. Je sortis ma langue et je commençais à lui lécher le gland et avalai la petite goutte qui venait de perler de son méat... Puis j'ouvris grand la bouche et happai d'abord son gland entre mes lèvres et lui avança son bassin, ce qui fit que tout son sexe pénétra dans ma bouche. Je le tenais avec mes mains par les hanches et contrôlais ses va et vient. Je sentais son excitation grandissante et je vis qu'il montait sur la pointe des pieds, il allait éjaculer...j'enfournais le maximum de son sexe dans ma bouche et le retenais par les fesses. Il lâcha plusieurs jets de sperme au goût salé dans mon palais que je bus aussitôt avec délice jusqu'à la dernière goutte.
Son sexe reprit sa taille originale et il se dégagea pour remonter son short.
- Toi tu es un sacré suceur, je ne me suis pas trompé quand je t'ai vu.
Il me salua et sortit.
Je répondis à son salut avant qu'il ne disparaisse par la porte.
J'étais heureux d'avoir sucé cette belle queue et d'avoir goûté son bon jus mais je restais sur ma faim car je bandais toujours... Quelques minutes après, la masturbation me vida de mes excès et je pus reprendre l'étude de mes polycopies normalement.
Le lendemain, j'eus la visite d'un autre étudiant habitant l'immeuble. Il frappa à ma porte et me demanda si je pouvais lui prêter un livre que j'étais susceptible d'avoir.
Je le fis entrer, il était vêtu d'un survêtement ample. Je le fis asseoir lançant ma recherche dans la pile de livres que je possédais. En attendant, il s'était assis sur une chaise et me regardait dans tous mes déplacements. Comme je ne le trouvais pas, il me dit "tant pis, je repasserais"
Je me rassis sur mon lit, désolé de n'avoir pas pu lui rendre service et quand il se leva, je vis son bas de survêtement pointant en avant. Mon regard ne pouvait s'en détacher. Il resta immobile sa bosse pointant vers moi. Je tendis la main et commençai à caresser cette bosse lentement. Elle était dure comme du bois et mes doigts devinaient bien les contours d'un zob bien fait. Il baissa son pantalon de survêt' et son sexe me sauta à la figure comme un ressort de son piège. Ma main finit de le décalotter et je commençais à le sucer délicieusement. Ses râles me firent comprendre qu'il appréciait la caresse buccale que je lui prodiguais. Son membre de bonne taille allait et venait dans ma bouche bien lubrifiée par ma salive. Je le branlais et suçais en aspirant légèrement quand un flot de jus éclata entre mes lèvres. Il hurla de plaisir et se vida complètement. Puis, une fois sa queue dégonflée, il remonta son pantalon de survêt', me remercia du plaisir donné et après m'avoir salué sortit de ma chambre.
Le soir d'après, un autre étudiant, un africain cette fois, frappa à ma porte, J'ouvris, lui demandant ce qu'il voulait et il me dit "je voudrais te parler"
Je le fis entrer et il m'avoua qu'il connaissait les deux autres, venus précédemment, et qu'il aurait bien aimé avoir les mêmes satisfactions.
Je m'assieds sur mon lit, l'invitant à prendre la chaise derrière lui, mais avant de s'asseoir, il dégrafa son jeans et sortit son zob d'ébène déjà raide. Un engin énorme décalotté avec un gland rond et très gros. Je n'avais jamais vu ça mais j'admirais... je finis par le sucer jusqu'à ce qu'il me crache un flot de sperme qui remplit ma bouche à l'en faire déborder. Je le vidais complètement le branlant en même temps. Son sperme avait bon goût et j'étais comblé.
Il prit un accent de petit nègre et me dit "tu suces bien, petit blanc"

J'étais devenu la petite pute de ce trio où venait s'accompagner quelques autres de leurs camarades. Ils venaient la plupart en short sans rien dessous et, à peine entrés, ils me soumettaient leur zob que je faisais jouir avec délice.
lailatvx - le 27/11/2013 à 10h47

quand je dis que ce sont les meilleures années!!!

epicurien91
Je suis un mari travesti soumis

Il y a quelques mois, j'ai avoué à ma femme Nadia mon adoration pour le BDSM et notamment la domination féminine et la féminisation. Celle-ci curieuse mais peu à l'aise avec ceci accepta quand même de tester et de se mettre dans la peau d'une dominatrice. Pour l’aider, je lui offris tout son "petit matériel" : plug, menottes, fouet, laisse, liens, et même un magnifique gode ceinture dont j'attendais avec impatience sa première utilisation. L'idée de sucer la grosse bite de plastique de ma femme en imaginant que ça soit une vraie et ensuite, me la prendre violemment dans les fesses, pendant qu'elle me crache dessus en me traitant de petite pute aimant porter ses fringues, me faisait bander comme un taureau et m'obsédait.
Nous fîmes plusieurs fois l'amour de cette façon, elle me dominant, me féminisant et m'enculant mais si j'y ai pris du plaisir, je sentais que le cœur n'y était pas totalement chez elle, qu'elle aimait mais qu'elle avait du mal à me donner des ordres, étant à la base d'une personnalité passive et ayant peu confiance en elle.
Néanmoins, nous continuâmes, étant fou d'elle, je ne la forçais pas et tentais de lui faire prendre confiance en elle, de ce fait, nous arrivâmes petit a petit à une forme de compromis : quand elle se sentait "prête" pour ça, elle me surnommait Laila, me féminisait mais je devait la guider, comme un metteur en scène. Ce petit jeu continua jusqu’à il y a quelques semaines.

Un jour, ma femme m’appela de chez sa copine, j'ignorais encore que ce serait la meilleure nuit de ma vie.
A 18h, elle se pointa chez nous, maquillée pour sortir, un sac en main, une robe de soie noire très courte moulant de manière sulfureuse son corps ( je pouvais aisément voir qu'elle n'avait rien dessous), des jarretelles rouges et portant ses cuissardes noires. Je lui ouvris, elle m'embrassa langoureusement puis nous allâmes dans ma chambre. Là, elle me dit le plus sérieusement du monde :" Va te raser intégralement le corps, nous sortons, j'ai une surprise pour toi..." Interloqué, je m’exécutais, me douchant par la même occasion afin de rendre ma peau la plus douce possible.
Revenant nu, juste couvert d'une serviette dans ma chambre, elle m'attendait assise sur ma chaise de bureau, jambes écartées, laissant voir son intimité rasée, le spectacle me mit l'eau a la bouche.
" Ce soir, me fit-elle, je t'ai prévu une surprise, mais pour cela, il va falloir que tu m'obéisses au doigt et à l'œil sans me poser de question !"
Surpris mais étant d'un naturel curieux, j'acceptais avec une moue dubitative. « Tu ne le regretteras pas » me fit-elle avec un petit sourire coquin. Elle se leva alors, m'embrasse puis prit le sac et me le tendit « Pour commencer, il te faut une tenue plus adaptée, vu que nous sortons, enfile ça ! »
J'ouvris le sac et quelle ne fut pas ma surprise en découvrant des vêtements féminins. « Nadia chérie, si on sort je peux pas mettre ça, on va se foutre de ma gueule ! » lui dis-je.
« Tu m'as juré que tu m'obéirais, alors fais-le, me fit-elle, sinon pas de surprise, mais crois-moi, tu vas louper quelque chose ! ».
Rechignant je m'exécutais, mon cœur battant la chamade, la honte me submergeant pendant que j'imaginais le pire : si quelqu'un me reconnaissait ? Ma réputation serait ruinée, mais.... à ma honte se mêla vite autre chose. Tout en enfilant la petite culotte à froufrous qu'elle m'avait apportée, mon sexe commença à durcir, l'excitation était là aussi. Suivirent les bas noirs auto-fixants, remontant à mi-cuisse, puis le soutien gorge rembourré et enfin une robe de velours noire similaire à la sienne. N'ayant pas de bottes à ma taille, Nadia me jeta une paire de sandales à talons « Tiens, elles devraient te serrer un peu mais je n'ai que ça ». Je les enfilais et, maladroitement, tentai de me lever, Nadia me repoussa sur ma chaise en me lançant « Où vas-tu ? Tu n'es pas prête à sortir ma belle ! ».
Elle sortit sa trousse a maquillage et me fit la totale : lèvres, yeux, joues... j'en sortis transformé. J'allais dans la salle de bain observer ma nouvelle apparence, ma féminité était plus qu'exacerbée avec ce déguisement , ma silhouette fine et mes cheveux longs coiffés, on aurait même dit que j'avais une poitrine de jeune adolescente. Ma femme se glissa dernière moi et passa un doigt sur ma culotte, elle caressa mon gland, me provoquant des spasmes de plaisirs et de légers gémissements.
« Tu vois que tu aimes ça, tu commences à entrer dans ton rôle, mais rassure-toi, me dit-elle avec un sourire lubrique, le meilleur reste à venir ».
La nuit était tombée, nous allâmes jusqu'à sa voiture, le parcours bien que court fut laborieux du fait de ma non habitude de marcher en talons hauts. Après m'avoir installée et remis le petit sac à main en plastique contenant mes affaires, elle m'attacha un bandeau autour des yeux.
« A partir de maintenant, je te guide, tu n'enlèves pas le bandeau tant que je ne te l'ai pas dit, sinon c'est fichu ! ». « T'inquiète pas, lui répondis-je, au moins comme ça, personne ne me reconnaîtra ».

La voiture démarra, je tentais de calmer la nervosité me gagnant, un subtil mélange de peur et d'excitation, je sentais en même temps que je transpirais dans ma culotte, je me tortillais dans tous les sens pour ne pas céder a la tentation d'ôter le bandeau, Nadia me caressant régulièrement les cuisses et passant la main sous ma robe, me titillant effrontément, pour mieux me faire râler.
« Calme-toi ma Laila, tu es plus sexy que tu ne l'as jamais été, je sens bien que ta culotte est toute mouillée, mais ne cède pas petite chienne, sinon pas de surprise ! »
Au bout de ce qui me semblait être un quart d'heure de route, la voiture ralentit puis s'arrêta. Un bruit de porte qui claque, des pas, une porte s'ouvrant : ma femme était en train de faire le tour et venait me chercher. A tâtons, je détachais ma ceinture et attendais qu'elle m'aide à sortir. Alors, elle m'enfila une laisse et m'entraîna dans un long couloir. Nous grimpâmes un escalier, je l'entendis taper à une porte qui s'ouvrit de suite après.
Une voix féminine se fit entendre : « salut ma belle, tout est prêt, et toi ?
« Comme tu le vois, fit-elle, Laila est là et en tenue ».
Une troisième voix se fit entendre « mais elle est ravissante, je sens que nous allons bien nous amuser ». Je ne dis rien, me laisser entraîner à l'intérieur de ce qui semblait être un appartement.
Je sentis deux paires de bras soulever les miens, me traîner jusqu'à une chaise, m’asseoir, les passer dans mon dos et le « clic » sonore d'une paire de menottes se refermant sur mes poignets, leur métal froid et dur se collant à ma peau. Nadia me retira le bandeau, elle était entourée de deux jeunes filles: une petite brune un peu grosse à lunettes et une rousse fine assez grande. La brune avait de longs cheveux bouclés attachés en une longue natte lui retombant sur les fesses et portait un top blanc, une courte jupe en jean et des bottines brunes tandis que la rousse avait les cheveux coupés en carré et arborait simplement une robe légère d'été fleurie et des ballerines.
- Voici Malika et Ghita, me dit ma femme, je les ai rencontrées sur Internet
- C'est ça ma surprise ? Demandais-je
- Ça et bien plus encore ma chérie ! ».

Sur ces mots, elle embrassa longuement Malika (la brune) et commença a peloter ses gros seins biens lourds et fermes. Malika l'enlaça et prit bien fermement ses fesses en main, pendant que Ghita, (la rousse) arrivait par derrière, glissant subrepticement ses mains entre les deux autres, la droite sur les seins de ma femme, la gauche dans son entrejambe qui commençait a mouiller fortement tout en couvrant de baisers le cou de ma chérie, les deux filles lui extirpant ainsi de petits gémissements de plaisir. Elles relâchèrent leur étreinte et se tournèrent vers moi, Ghita, les doigts encore à l'intérieur du vagin de mon épouse me toisa, son regard descendant sur la bosse sur ma robe formée par mon sexe en érection.
- Tiens, tiens, tiens, mais c'est que ça l'excite cette petite salope !
- Oui, susurra Nadia, elle doit avoir très envie de sexe. Tu veux ma chatte ma Laila ?
- Oui, fis-je en haletant, gêné par mon érection, une furieuse envie de me masturber me tenaillant. Faut que je baise là !
- Stop, me fait Malika, visiblement tu n'as pas tout compris : comment veux-tu baiser si tu es une fille, déjà ce soir, tu n'as plus de zob mais un « tabboune » (une chatte), donc celle qui va se faire baiser, c'est toi !
- Pardon ? M'écriais-je
- Chut ! Me dit Ghita tout en me plaquant ses doigts pleins de jus de ma femme sur la bouche. Par instinct et envie, je les léchais, ne voulant pas perdre le bon fluide de ma chérie.
- Nadia, ma chérie ? Demandais-je d'un regard implorant.
- Tais-toi, tu dois m'obéir Laila, dit-elle d'un ton ferme
- Mais...
- SILENCE, GROSSE PUTE ! Hurla Malika, sa main me giflant violemment.
- Bon, inutile de le faire attendre plus longtemps, lança ma femme, on commence !
Les filles la regardèrent d'un air ravi, baissèrent leur culotte d'un mouvement rapide, se tournèrent vers moi et relevèrent leur vêtement révélant …. Un ZOB !!!
Malika et Ghita étaient des transsexuelles !!!
- Vous êtes des shemales ? Articulais-je.
- Mais c'est qu'elle comprends vite, la petite conne ! fit Malika. Ghita a sa bite depuis trois ans et moi deux. C'est ta femme qui nous a contactées disant que tu cherchais un plan en groupe avec des shemales, et bien, tu vas être servi sale trou à foutre
lailatvx - le 27/11/2013 à 10h48

le fantasme de toute bonne sissy: se faire accepter comme telle par sa moitié...

epicurien91
superbe cul !!cela doit etre un vrait plaisir !!!
nath78 - le 08/12/2013 à 07h06
superbe quel joli petit cul !!
nath78 - le 04/01/2014 à 06h51

merciiii nath!

epicurien91